vendredi, août 10, 2007

Bienheureux les miséricordieux !

Le luxe, la fortune, le progrès matériel ont souvent conféré à leurs détenteurs une tendance à juger et à condamner impitoyablement les moins adroits ou les moins favorisés. La matière est sans âme, à qui la choisit comme idole revient l’impassibilité de l’idole en face des fautes et des humaines faiblesses. Méchanceté du monde, méchanceté des salons…Heureux ceux dont l’esprit est encore assez vivant pour réconforter par l’indulgence et l’incompréhension.
Révérend Père de Chivré o.p.

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